"L'ÉCOLE DES CADAVRES" de LOUIS FERDINAND CÉLINE (6ème partie)

Publié le par Zoso


LOUIS–FERDINAND CÉLINE


L'ÉCOLE DES CADAVRES


6eme partie



Je dis le Juif Bénès, bien que la chose ait été maintes fois contestée parce que j’ai connu l’officier de l’Intelligence Service qui lui délivrait pendant la guerre ses “laissez-passer” temporaires. Benès ne possédait en effet aucun passeport d’aucune nationalité avouable. Il avait même pris la mauvaise habitude de se fabriquer lui-même des faux passeports. La déveine lui valut d’être arrêté à Londres en 16. Il était connu à l’I.S. (qui s’y connaît) comme« Juif agitateur » au même titre que Litvinoff, et Bela Kuhn et Trotzky. Tous les trois continuent bien entendu à “agiter” (on est bourrique pour la vie) aux lieux de leurs affectations.

Ce sont les esprits pervers qui rendent la vie insupportable. Ils trouvent des intentions partout. Moi je me sens devenir si pervers que ça me tourne en folie raciste. Et pas qu’un petit peu ! Raciste 100 pour 100 ! autant que communiste, sans les Juifs ! À l’heure où nous sommes, dans les circonstances si tragiques, l’indifférence n’est plus de mise. Il faut choisir, il faut opter pour un genre de perversion, ça suffit plus de se dire méchant, il faut avoir une foi terrible, une intolérance atroce, y a pas beaucoup de choix, c’est l’aryenne ou la maçonnique, juive ou anti-juive. Ça va nous donner vingt ans de rigolade. Je ressens, tellement je suis drôle, des choses encore bien plus perverses. Des véritablessadismes. Je me sens très ami d’Hitler, très ami de tous les Allemands, je trouve que ce sont des frères, qu’ils ont bien raison d’être si racistes. Ça me ferait énormément de peine si jamais ils étaient battus. Je trouve que nos vrais ennemis c’est les Juifs et les francs-maçons. Que la guerre qui vient c’est la guerre des Juifs et des francs-maçons, que c’est pas du tout la nôtre. Que c’est un crime qu’on nous oblige à porter les armes contre des personnes de notre race, qui nous demandent rien, que c’est juste pour faire plaisir aux détrousseurs du ghetto. Que c’est bien la dégringolade au dernier cran de dégueulasserie.

L’Intelligence Service, qui connaît on ne peut mieux Benès, lui avait fait miroiter (par confidents) pendant toute la crise des Sudètes, qu’il pourrait peut-être, à la faveur du renversement des États totalitaires, devenir Président des États Démocratiques d’Europe (maçonnique), d’une sorte de S.D.N. rénovée, maçonnico-démocratico-communiste, trèsacceptable par les masses, et d’immédiate application. L’Europe juive au second stade”.Windsor aurait été promu dès la proclamation, Président du Sénat Européen ! Philippe Égalité38 ! Il l’avait bien mérité. La Juive Simpson a joué magnifiquement son rôle. Dans le coup, également, les trois grands Juifs anglais, Israël Moses Sieff, Mark Spencer, et Sassoon, après Rothschild les quatre plus grosses fortunes d’Angleterre. Tout devait passer comme muscades. Mais L’I.S. au dernier moment a redouté les mutineries dans l’armée française et le sabotage du ravitaillement anglais. Partie remise ! Dans six mois par exemple, après les élections triomphales du Parti Chamberlain. Semaine des Sudètes, semaine desDupes. Ni Benès, ni Litvinoff n’auraient, c’est écrit, en aucun cas, joui du Triomphe. Ils auraientété liquidés en cours d’action, comme le furent toujours les agents trop [185] voyants de l’I.S., tels Mirabeau, Danton, Robespierre, Borodine, Trotzky, Lawrence, etc…, etc… La fête continue… Le petit con frénétique ambitieux Benès n’a pas fini de gigoter sur la corde raide ou au bout de la corde, encore plus raide.

Le Juif hebdomadaire Candide, dans son éditorial du 29 septembre, jour même où la paix ne tient plus qu’à un fil, prenant toutes ses précautions, nous avertit que : « On n’a jamais le droit d’oublier les leçons de l’histoire. La permanence des caractères d’un peuple est un des phénomènes les plus extraordinaires. L’Allemagne n’a jamais eu de respect pour ses obligations antérieures. » Candide est beaucoup trop con pour être dangereux, il a même quelque chose en plus d’être con, il raffole des astuces. Qu’à cela ne tienne ! Cette persistance des “caractères acquis” doit être aussi remarquable chez les Juifs que chez les Allemands. Pourquoi pas ?Allons-y pour les Leçons de l’Histoire ! Elles doivent être valables pour tout le monde. Les nazis n’ont pas inventé l’antisémitisme. Les témoignages et non des moindres, abondent à travers les siècles, de Diodore à nos jours, quant à la fameuse persistance des caractères juifs acquis, on n’a que l’embarras du choix. Antiquité DIODORE (30 av. J.C. – 20 apr. J.C.) : « Les amis du roi Antiochus (175 av. J.C. – 163)lui avaient conseillé d’expulser les Juifs parce que ceux-ci ne voulaient pas se mêler aux autres et considéraient chacun comme leur ennemi. » SÉNÉQUE (4 av. J.C. – 65 apr. J.C.) : « Les coutumes de ce maudit peuple sont demeurées si solides qu’il s’est répandu à travers tous les pays ; les vaincus ont imposé
leurs lois aux vainqueurs. » TACITE (55 – 120) : « La plupart des auteurs s’accordent à reconnaître qu’à la suite d’une dégoûtante maladie qui s’était propagée en Égypte, le roi Bocchoris avait reçu de son oracle l’avis de purifier son royaume en chassant les Juifs, car c’est une race haïe des dieux et des hommes. Afin de garder le peuple sous sa coupe, Moïse lui donna des lois nouvelles ; tout ce qui est sacré pour nous est méprisable aux yeux des Juifs, et tout ce qui nous fait horreur leur est permis. » MAHOMET (571 – 632) : « Je ne m’explique pas qu’on n’ait pas depuis longtemps chassé ces bêtes malfaisantes qui respirent la mort. Est-ce qu’on ne tuerait pas immédiatementdes bêtes qui dévoreraient les hommes, même si elles avaient forme humaine ? Que sont lesJuifs sinon des dévorateurs d’hommes ? »

SAINT-JUSTIN (166) : « Les Juifs étaient derrière toutes les persécutions que subissaient les Chrétiens. Ils erraient par tout le pays, propageant la haine des Chrétiens et minant leur foi. » TERTULLIEN (160 – 230) : « Les Juifs constituent le champ d’ensemencement de toute action anti-chrétienne. » Moyen-ÂgeGONTRAN, Roi de France (525 – 593) : En 585, le roi Gontran vint à Orléans ; tout le monde l’acclamait, même les Juifs, et eux criaient plus fort que tous les autres. Le roi dit : « Malheur à cette nation juive méchante et perfide, ne vivant que de fourberies. Ils meprodiguent aujourd’hui de bruyantes acclamations, c’est qu’ils veulent obtenir de moi que j’ordonne de relever, aux frais publics, leur synagogue que les chrétiens ont détruite ; mais je ne le ferai pas : Dieu le défend. » [188] L’abbé TRITHEME de Wurzbourg (1462 – 1516) : « Il est hors de doute qu’uneaversion croissante est en train de se faire jour contre les usuriers juifs, tant parmi les grands que parmi les humbles. Je suis partisan de mesures légales qui empêcheraient l’exploitationdu peuple par les
usuriers juifs. Va-t-on laisser des étrangers envahisseurs régner sur nous ? Et régner sur nous, non en raison d’une force ou d’un courage supérieurs, d’une vertu plus haute, mais seulement au moyen de leur vil argent ? Ces gens vont-ils s’engraisser impunément de la sueur du paysan et de l’artisan ? » LUTHER (1483 – 1546) : « Comme les Juifs aiment le Livre d’Esther, qui correspond si bien à leur appétit de vengeance, à leurs espoirs meurtriers ! Le soleil n’a jamais brillé sur un peuple plus assoiffé de sang, plus vindicatif que celui-ci, qui se prend pour le peuple élu afin d’avoir licence d’assassiner et d’étrangler les Gentils. Il n’y pas de créatures, sous le soleil,plus avides qu’ils sont, ont été, et seront – il n’est que de les voir pratiquer leur mauditeusure. – Ils se flattent de l’espoir que lorsque le messie viendra, il rassemblera tout l’or et toutl’argent du monde et le leur partagera. Je suis d’avis qu’on brûle leurs synagogues, ce qui ne pourra pas brûler qu’on le couvre de terre afin qu’on n’en puisse plus rien voir… On devrait détruire tous leurs livres de prières, tous les exemplaires de leur Talmud où ils apprennent tant d’impiétés, tant de mensonges, de malédictions et de blasphèmes… Aux jeunes Juifs et aux jeunes Juives il faudrait donner le pic et la houe, la quenouille et le fuseau afin qu’ils gagnent leur pain à la sueur de leur nez… » ÉRASME (1487) : « Que de vols, quelle oppression subissent les pauvres, victimes des Juifs ! Des souffrances telles, qu’ils ne sauraient souffrir plus longtemps – Dieu les prennent en pitié ! Les usuriers juifs sont profondément implantés jusque dans les plus petits villages et prêtent-ils cinq gulders, qu’ils exigent un reçu de six fois davantage. Ils réclament intérêts sur intérêts et par là-dessus des intérêts encore – de sorte que le pauvre malheureux perd tout ce qui lui appartient. » [189] Jusqu’à nos joursLe Pape CLÉMENT VIII (1605) : « Le monde entier souffre de l’usure des Juifs, de leurs monopoles, de leurs tromperies. Ils ont réduit nombre d’infortunés à la misère, surtout des fermiers, des artisans, et les plus besogneux des pauvres. »

VOLTAIRE (1694 – 1778) : « Les Juifs ne sont qu’un peuple ignorant et barbare qui allie depuis longtemps la plus répugnante avarice et la plus abominable superstition à une haine inextinguible pour tous les peuples qui les tolèrent et grâce auxquels ils s’enrichissent. » MARIE-THÉRÈSE, impératrice d’Autriche (1777) : « Je ne connais peste plus nuisible à l’État que cette nation qui réduit les gens à la pauvreté par la fraude, l’usure, les contrats financiers, et qui se livre à toutes sortes de mauvaises pratiques qu’un honnête homme abominerait. » Benjamin FRANKLIN (1787). Débats préliminaires de la Constitution américaine :« Dans tous les pays où les Juifs se sont installés en nombre, ils ont abaissé le niveau moral,discrédité l’intégrité commerciale, ils ont fait bande à part sans s’assimiler jamais aux autres citoyens. Ils ont tourné la religion chrétienne en ridicule et tenté de la miner… Ils ont bâti un État dans l’État et quand on leur a opposé de la résistance, ils ont essayé d’étrangler financièrement le pays… Si vous ne les excluez pas des Etats-Unis dans cette constitution, en moins de deux-cents ans ils y fourmilleront en quantités si considérables qu’ils domineront et dévoreront notre patrie et changeront la forme du gouvernement… Si vous n’interdisez pas aux Juifs l’accès de ce pays, en moins de deux-cents ans, vos descendants travailleront la terre pour pourvoir à la subsistance d’intrus qui resteront à se frotter les mains derrière leurscomptoirs. Je vous avertis, Messieurs, si vous n’excluez pas pour toujours les Juifs de notre communauté, nos enfants vous maudiront dans vos tombes… Les Juifs, Messieurs, sont des asiates… Ils ne seront jamais autre chose… » [190] NAPOLÉON 1er(1808), écrivant à son frère Jérôme : « J’ai décidé de faire quelquechose pour les Juifs ; mais je n’en veux pas voir entrer davantage dans mon royaume ; vraiment j’ai tout fait pour prouver mon mépris envers cette nation, la plus vile de l’univers. » MrNEWDIGATE à la Chambre des Communes, le 22 mars 1858 : « Je ne crois pas qu’un Juif puisse devenir un bon membre de cette assemblée, car le Juif est un strict observateur du Talmud et les tendances du Talmud ont, je me fais fort de le démontrer, un caractère amoral, anti-social, et anti-national… Les Juifs ont été soit directement, soit indirectement, fautifs de tous les troubles et de toutes les révolutions. Ils ont causé la ruine et la misère de leurscontemporains par les moyens les plus abjects et les plus tortueux. » Le général GRANT (1861) : Durant la guerre civile américaine, la deuxième ordonnance du général Grant est ainsi conçue : « Les Juifs violent tous les règlements commerciaux édictés par la Trésorerie ; ils enfreignent également les ordres promulgués, aussi sont-ils expulsés du territoire qu’ils devront avoir évacué dans les vingt-quatre heures qui suivront la promulgation de cette ordonnance. » Paul KRUGER, Président de la République du Transvaal, prenant la parole sur la place du marché à Johannesburg, en février 1899 : « S’il était possible de mettre carrément les Juifs à la porte de ce pays sans risquer la guerre avec la Grande-Bretagne, le problème de la paix perpétuelle serait résolu en Afrique du Sud. » Enfin, de Léon BLUM, lui-même (Avocat conseil de MrBader : « Le goût de vivre, le besoin de s’accroître, de
dominer ; les forces juives, en un mot. » « Mis au service du socialisme international, le capital juif ferait assurément de grandeschoses. »


« …Mais il est encore essentiel d’observer que si les Juifs interviennent dans la lutte sociale… ce sera pour obéir à la loi naturelle de leur race. »

Les “Français” qui n’osent pas s’avouer leurs lieux de naissance, ils sont de plus en plus nombreux. Surtout dans les professions libérales. À cet égard, honte sans doute… les annuaires professionnels syndicaux, des médecins, dentistes, pharmaciens, ne mentionnent plus les lieux de naissance. Ils ont été tout bonnement supprimés les lieux de naissance. Les dentistes, médecins, chirurgiens ne sont plus nés nulle part. Ils existent, voilà tout. Y en avait trop de venus, sans doute, de lieux impossibles, deghettos trop marquants. Ça faisait faire des réflexions. Maintenant c’est écrit tout sec, comme ça : Le DrDuconovitch, né le 31 décembre 1900. C’est marre.Si vous insistez beaucoup, on finira par vous répondre qu’il est né à Chatou-sur-Seine leDrDuconovitch, comme M. le Ministre Mandel, et ça ne sera pas vrai non plus. Vous serez bien avancé… Et le DrKaganovitch ? Et le DrDurand-Moumélian ?... et le DrLubomirzsky ?... et le DrKlin-Voronoff ? Sont-ils nés nulle part ces gens-là ? Des centaines et des centaines… de plus en plus d’“Heimatlos”. C’est pénible… Despleins annuaires de médecins nés nulle part. Ça fait drôle… « N’avouez [192] jamais » c’est la consigne. Un nom de famille ça se trafique (et comment !) tandis qu’un nom de ville c’est difficile à truquer. D’où ces pudeurs. Tout de même il faut en finir, il faut vraiment faire quelque chose ! Ça peut pas durer toujours ces situations équivoques, ces gens qui ne sont nés nulle part… Ça commence à faire sourire. Je propose que nous, les originaires, on y mette un peu du nôtre. Qu’on leur donneune couverture à ces enfants de France “pas naturels”, qu’on les sorte de l’embarras. Je vais faire pour eux un beau geste, je vais aller me faire inscrire au syndicat confédéré comme ça… Je vais insister : DrL.-F. Destouches, né à Kiev le 27 mai 1894. Cachant ainsi, enfin, mon Courbevoie (Seine) qui m’a causé un tort énorme, tout au long de ma folle carrière. Il ne manquera pas de se produire j’imagine, par sympathie, quelques conversions fameuses. Je vois très bien se faire inscrire à la C.G.T. le DrG. Duhamel, de l’Académie deMédecine né à Lvov le… le… et le DrLéon Daudet, de l’Académie Goncourt, né à Bratislava le… le… Ainsi la mode sera lancée. Pieux subterfuge. Tous les confrères indigènesrenonceront très rapidement à leurs ridicules Saint-Mandé… Brioude… Verrière-sur-Couesson (Peut-on être né à Brioude ?) et se choisiront en vitesse un petit ghetto bien sonnant. (C’est pas les ghettos qui manquent de Reval à Trébizonde !) Ainsi tout le monde sera d’accord et tout le monde sera gâté. On sera tous vraiment enjuivés, méconnaissables les uns des autres, même par nos lieux d’origine, homogénéisés, naturalisés juifs, amiablement. On pourra les refaire les annuaires, ça sera une joie de les compulser, ça fera travailler l’imagination des jeunes filles, les lieux de naissance des docteurs, rien que des noms prestigieux, fantastiques, évocateurs au possible… des vrais endroits des mille et une nuits… Tobolsk… Tourgaï… Orenbourg… Vladimila… Tambor… Simbirsk… Amasaïan… Kioutaïch… Perth… C’est autre chose, avouez-le, que des Bécons-les-Bruyères !... C’est un peu rêche à prononcer, au premier abord, au début, et puis on s’y fait… Tambor… Simbirk… Amasaïan… Je suis né à [193] Amasaïan… C’est comme je le disais plus haut à propos d’empapaouteries… Il suffit de s’y mettre avec un peu de bonne volonté… Vient l’habitude…

On se fait des petites illusions, on pense que l’on vous a compris. Et puis pas du tout. Sans prétentions, tout bonnement, consciencieusement, on a rédigé dans sa vie des milliers,milliers d’ordonnances… Et l’on ne saura jamais, jamais, tout le bien qu’elles ont pu faire, à la ronde… Ça n’a pas beaucoup d’importance. On vous a sûrement compris, toujours, toujours de travers. Il faut bien se dire une chose, qu’en dépit de tous vos talents, de vos plus angéliquesefforts, même de cette façon de génie qui finit bien par vous pousser, à force d’échecs, pour l’explication ultra-nette, pour l’ânonnage analytique, pour le mot à mot dévotieux des plus rabâchées prescriptions, des plus coutumières formules, l’on vous a toujours, toujours, compris de travers. L’auriez-vous calligraphié vingt fois et puis encore vingt fois en caractères démesurés et puis chantonné joyeusement sur l’air de la Paimpolaise : « qu’il doit la prendre sa demi-cuiller dans une certaine tasse de tilleul, bien chaude, justeau moment de se coucher »… Il n’en fera qu’à sa tête, le client, il en prendra trente des cuillers, au réveil, dans un court bouillon. Et ça fera un scandale horrible. Et il reviendra vous accuser… Et ça sera des complications à n’en plus finir. En toute humi-[195]lité bien sûr que je vous raconte ces choses. Je ne prétends rien vous apprendre. C’est la vie… Quand je mesouviens de ma pratique… Peut-être que je les fascinais ? Ça valait peut-être mieux que je m’en aille… M’en aille… c’est une façon de causer… Je me serais plutôt sauvé… Ilsdevenaient drôles… Ils commençaient à plus savoir s’ils devaient pas me buter sur place…tellement il se trouvaient fascinés.

Peut-être vais-je vous fasciner vous aussi ? Peut-être que je vais vous faire rendre ? Peut-être allez-vous me trouver odieux ? assommant au possible ? Peut-être allez-vous me honnir ? Si vous m’avez lu jusqu’ici c’est déjà du tempérament, c’est déjà la preuve d’une haine solide. Mais la suite est admirable. Je vous préviens très courtoisement. L’émouvant récapitulatif de toutes les tergiversations des 50 chapitres liminaires… Vous n’aurez pas à vous plaindre !... Avec toutes conclusions “ad hoc !”… extra fortes !... architecturales !… Moi c’est vers la fin que je triomphe, dans l’envol pathétique, le surpassement, le bouquet ! Je suis de ces auteurs qu’ont du souffle, du répondant, du biscoto. J’emmerde le genre entier humain à cause de mon répondant terrible, de ma paire de burnes fantastiques (et bordelde dieu je le prouve !) Je jute, je conclus, je triomphe, je trempe la page de plein génie… De vous à moi, entre copains, c’est ce qu’on me pardonne pas du tout, à la ronde, ce qu’on mepardonnera jamais, jamais, la façon que je termine, que j’achève les entreprises, que je vais au pied comme une reine, à tous les coups. [197] Ils voudraient bien me faire mourir, mes émules, même mes petits élèves, par chagrins, par méchants propos, me faire périr sous les morsures d’une foison de cancrelats, sous les venins d’une pullulation atroce d’aspics effroyablement voyous, martyrivores. Mais ma peau de vache me protège, jusqu’ici j’ai réchappé.


Ne pas divaguer si possible, très bien retenir l’essentiel et puis vociférer, à s’en faire péter toutes les cordes, sur tous les tons. Racisme d’abord ! Racisme avant tout ! Dix fois ! Millefois Racisme ! Racisme suprêmement ! Désinfection ! Nettoyage ! Une seule race en France : l’Aryenne !... très normalement adaptée, installée. Le reste c’est que des farcissures, desimpostures, des saloperies. Trois groupes aryens ! Les Alpins (les plus nombreux), les Nordiques, les Méditerranéens : Aryens tous. Et c’est marre, et c’est tout. Ça suffit. C’est bien facile à retenir. Les Juifs, hybrides afro-asiatiques, quart, demi-nègres et proches orientaux, fornicateurs déchaînés, n’ont rien à faire dans ce pays. Ils doivent foutre le camp. Ce sont nos parasites inassimilables, ruineux, désastreux, à tous les égards, biologiquement, moralement, socialement, suçons pourrisseurs. Les Juifs sont ici pour notre malheur. Ils nous apportent que du malheur. Ce sont les Juifs qui ont coulé l’Espagne par métissage. Ils nous font subir le même traitement. Ils nous rendent la vie impossible sur notre propre territoire. Ils ne pensent qu’à nous rançonner, nous asservir, toujours davantage, toujours plus intimement, plus dégueulassement, nous faire massacrer en de nouvelles révolutions, de nouvelles guerres, de plus en plus [199] longues, de plus en plus saugrenues… Ce sont des gangreneux maniaques, contaminateurs de nos plus terribles véroles délabrantes, insatiables. Ils n’ont rien à faire parici. Ils nous sont mille fois plus funestes que tous les Allemands du monde. Ce sont les Allemands qui ont sauvé l’Europe de la grande Vérolerie Judéo-Bolchevique 18. Nous nous débarrasserons des Juifs, ou bien nous crèverons des Juifs, par guerres, hybridations burlesques, négrifications mortelles. Le problème racial domine, efface, oblitère tous les autres. Il relègue aux fantasmagories, aux accessoires pour cotillons et partouzes démagogues toutes les conjectures dites sociales, dites communistes, dites socialistes, dites maçonniques. Tout autant de prématurations monstrueuses, d’anticipations imbéciles, de fanfaronnades criminelles, charruteries, charriages judaïques avant les bœufs. Kabaleries, prestidigitations, satrapies épileptiques, enragées fumisteries, abracadabrantes entreprises pour toutes tortures asiatiques, forceries marxistes abortives. Toute l’ignoble Grande-Guignolerie des youtresapôtres fraternisateurs. Pitreries criminelles. Avant de tâter du parcours communiste, si périlleux, si miraculeux, les hommes devraient bien d’abord, avant tout, être engendrés convenablement, se présenter au départ avec des pédigrées nets. Ce n’est quand même pas ce quarteron de rabbins chassieux, pouilleux, négroïdes, cette racaille panarde, épileptoïde, nasillante, qui va revenir au 20èmesiècle nousrefaire le coup des Tables ! des Lois prophétiques ! Merde ! Y a de l’abus ! Aux douches ! Tordus pustuleux ! Que les Aryens se débrouillent seuls ! Qu’ils s’épurent d’abord ! qu’ils deviennent dans leur propre race autant de spécimens possibles ! On verra dans la suite des temps pour les tentatives communistes ambitieuses ! Ce serait une gageure idiote de vouloir faire courir en steeple le premier percheron venu, mal équarri, cabochard, véron. On l’améliore d’abord, l’animal, on le lance pas comme ça ! On l’affine par hérédité. C’est l’élevage ! On le surveille de père en fils. On le croise pas au petit malheur avec des chevaux juifs, des perclus, foutus, [200] surtarés, pires rebuts d’étables immondes, bidets odieux, intouchables depuis des siècles dans tout l’Orient, dispersés, honnis, évincés des pires pouilleries de l’Univers. Salut ! Et c’est ça qui va nous dresser ? nous féconder ? Chiots ! Ça peut donner que des horreurs ! Encore un siècle de ce régime et on nous fera voir à huis-clos, payant, pour les frissons de répugnance. La Démagogie anthropophage, optimiste, l’Israélisme folichon moderne consiste à nousfaire reluire avec tous les pires bobards, formidables, sur nos qualités, nous déjà si tartignols, si périclités, nous masse de masse déjà si apéritive, cagneuse, muflisée, râleuse, morveuse, voûtée, bigle. On est tous quand même des grands as, par la gueule de nos gouvernants, absolument des plus fin prêts pour tous les plus extrêmes parcours, les plus époustouflantes épreuves ! Que nous allons tout emporter ! l’enlèvement ailé par bonds d’enthousiasme des plus effarants obstacles ! Le Paradis dans un fauteuil ! À portée de poigne ! En somme qu’ilsuffit d’un peu d’entraînement ! d’enseignement ! Une semaine d’audace encore ! de “pas froid aux yeux !” Et youp ! là ! là ! C’est la Renaissance ! Le Cinéma ! Tous les miracles !Pour ainsi dire que c’est chose faite ! Un coup tous ensemble ! Et Baoum ! Le mur s’écroule ! Tout de suite derrière c’est le Paradis ! Qui hésite ? Qui se tâte ? encore ? On se demande ! Ah ! l’imposture ! Ah ! Les foutus pervers fumiers satanés immondes ! Ah ! les doreurs de merdes pilules ! Mais c’est pas question d’école le communisme ! Ni de trémolos ! ni de politique ! nid’élections ! ni de philosophie transcendante ! De leçons à prendre ou ne pas prendre ! C’est une question de sperme ! de foutre ! C’est infiniment plus calé ! C’est pas une question d’examens ! C’est une question de croisements ! d’élevage ! C’est ça la Révolution ! La vraie !... Si vous n’effectuez pas d’abord, avant d’entrer dans les détails, dans la terribleapplication de votre sociologie, verbagineuse, faribolesque, une sélection très farouche, inexorable, de toutes vos souches participantes, vous n’aurez fait que des grimaces, vous n’aurez même pas préludé, pressenti les rudiments d’une race [201] blanche convenable, d’une société aryenne possible, communiste ou pas. Vous n’aurez jamais rassemblé autour de vous qu’une dégueulasse racaille de tous charognards fainéants, sournois, vicieux, les plus inaptes à tout dressage profond. Vous n’aurez jamais avec tous vos discours, vos velléités, contorsions, simulacres, quetrompé, divagué davantage, déconné, aggravé le mal avec plus ou moins de profit personnel. Demandez-vous au chacal qu’il renonce à ses habitudes ? Qu’il se montre tout d’un coup sensible aux exhortations altruistes ? Attendez-vous du vautour qu’il se modernise ? Qu’il se modernise en charognerie ? Tous les enseignements du monde ne peuvent rien contre les instincts de la viande. Trente-six mille Facultés postillonneuses, transcendantalesd’Humanitarisme apostolique, réparties sur le globe ne feront pas dévier d’un dixième demicron l’opercule du plus minuscule bigorno, avant l’heure venue. Si la marée, la lune et le soleil ne semblent pas au bigorno, absolument propices à ses petites évolutions, il s’abstiendra, il n’en fera qu’à sa coquille. C’est exactement du kif avec l’homme, sauf qu’il peut toujours, lui, vous tromper avec ses : « Oui ! Oui ! Je vous suis ! Je suis entièrement d’accord ! Bravo ! Bravo ! » L’homme c’est la machine à mentir, Bigorno sournois. Pour la question des grandes réformes, des sociologies progressives c’est aux chromosomes d’abord qu’il faut s’adresser. À l’esprit plus tard ! On a le temps ! On en a que trop fait d’esprit ! Ça nous a pas trop réussi ! Derrière l’esprit il y a toujours du juif ! Avec ses salades pourrisseuses. On peut changer notre méthode, on a rien à perdre. Toutes les sociologies marxistes, rationalistes ne sont qu’autant de bonimenteries obséquieuses, sous leurs allures rigides, scientifiques, impersonnelles, elles prennent l’hommepar la vanité, elles le chatouillent au plus bas narcissisme, à la pire connerie satisfaite, à la tripe béate. Tartuferies, bagouteries matérialistes enjuivantes, attrape-gogos pour éperdus haineux boyautiques. Le Juif, le Roi juif, qui commande tout, qui possède tout dans nos États est un éleveur démoniaque. Paradoxe atroce ! C’est lui pré-[202]cisément l’ennemi juré de notre Race ! C’est lui, le Juif-Roi, précisément le plus ardent, le plus fanatique fornicateur abâtardisseur de notre race ! Et il nous possède ! Lui, l’organisateur le plus zélé, le plus acharné, en tous croisements immondes, catastrophiques, le Propagandiste le plus effréné de notre Putanat. Notre République française n’est plus qu’une énorme entreprise d’avilissement, de négrification des Français sous le commandement juif. Nous avons pour gouvernants une clique de conjurés youtres sadiques et de maçons trouilleux vendus dont le boulot principal consiste à nous avilir, nous abâtardir davantage, nous ramener par tous les moyens au grotesque alluviant primitif, mi-nègre, mi-jaune, mi-blanc, mi-rouge, mi-singe, mi-juif, mi-tout. La grande marotte de tous nos gouvernements successifs depuis 93, c’est de nous faire dégénérer. Ils ne pensent qu’à nous enjuiver, nous négrifier, tous les jours un peu plus, au nom de la civilisation. La civilisation rêvée par un gouvernement français républicain c’est un encore plus parfait esclavage des indigènes aryens sous les Juifs, pour le profit, l’épanouissement des Juifs, toutes les rigolades des Juifs. Toutes les doctrines humanitaires, égalisatrices, justicières, libératrices de Progrès par la Science, de Vérité Maçonnique, de Démocratie Universelle, etc… ne sont en définitivequ’autant d’affublants pompeux stratagèmes de la même grande entreprise juive : L’Asservissement total des goyes par pollutions systématiques, salopages forcenés, hybridations à toute berzingue, enculeries négroïdes massives.

Les races ne se font pas toutes seules, ne se défendent pas toutes seules ; elles sont au fond de chaque homme en instance, en “devenir” au fond de chaque espèce. C’est tout. Elles exigent pour durer, pour subsister, un effort permanent, stoïque, de chaque être vivant, pour vaincre la disparition et la mort. Elles sont en “devenir”, toujours en péril, toujours menacées. Les Aryens ont encore, peut-être, quelques possibilités de “s’accomplir” en purifiant leur race, de se dénégrifier, de se déjudaïser, il n’est que temps ! s’ils sont trop lâches, trop vils, trop fainéants, s’ils se laissent trop nombreusement enculer par les négrites, les asiates, par lesjuifs ils disparaîtront, ignoblement. D’autres races viendront, jaunes sans doute, qui les balayeront, qui les rejetteront à la mer.France Empire du Soleil Couchant. Les Français négroïdes ne s’en iront pas sans douleurs. Ils crèveront par servitudes, par guerres, révolutions, par tueries mutuelles, endémiques, rituelles, hébétées, tournées à l’étatd’infernales, irrésistibles manies. « To be or no to be » Aryen ? That is the question! Et pas autre chose! Toutes les doctrines d’inexistence des [204] Races, du plus grand confusionnisme racial, tous les apostolismes du méli-mélo racial à toute force, l’espérantisme du trou du cul, “à la Romain Rolland”, au plus grand babélisme copulateur, ne sont qu’autant de virulentes vacheries destructrices, toutes sorties de la même boutique talmudique : « À la destruction des Blancs. » « À l’affolement, à la confusion des sexes par toutes les bites de toutes les couleursimaginables. » L’Aryen doit s’extirper de son métissage dégueulasse ou disparaître et pas de façon pépère, tout simplement, doucettement, gentiment… Non ! À coups de supplices ! de tortures infiniment variées ! guerres ! démences très horribles, nécroses ravageantes, terrifiantes,convulsions incoercibles, abominables puanteurs. Des vraies fins vertes de cancéreux. La mosaïque héréditaire de l’hybride européen abâtardi recèle assez de ferments absurdes, d’inclusions anarchiques, de démences imminentes, pour déconcerter vingt enfers, pour engraisser tous les chirurgiens du monde. Le fameux rêve humanitaire du juif c’est un Pandemonium de toutes les nations dissoutes, une fantastique bouillabaisse des races pourries, affolées, perdues en carambouilles grotesques, toutes confondues dans une perpétuelle furieuse catastrophe. Plus de race ! plus rien ! plus que des prostitués de juifs, sous toutes les latitudes, ahuris,consentants à toutes étripades. En somme la réalisation d’un gigantesque cancer mondial, composé de toutes nos viandes, pour la jouissance, la vengeance, la prédominance du juif. Lui, le bâtard, l’hybride le plus répugnant du monde, prendrait à force de nous saloper, en comparaison, une petite allure intégrale, authentique, précieuse, raffinée. Au royaume des “écroulés dans la merde” les tordus du rois. Racisme ! Mais oui ! Mais comment ! Mais plutôt mille fois qu’une ! Racisme ! Assez denos religions molles ! Nous avons été suffisamment comme ça introduits par tous les apôtres, par tous les Évangélistes. Tous Juifs d’ailleurs depuis Pierre, le fondateur, jusqu’au Pape
actuel en passant par Marx ! [205] Le nationalisme est encore un truc de juif pour nous tétarer davantage, pour nous faire mieux entre-tuer de chenil en chenil. Ça va ! Ça suffit ! Vive le Racisme ! On a compris à force de cadavres. Vive la Religion qui nous fera nous reconnaître, nous retrouver entre Aryens, nous entendre au lieu de nous massacrer, mutuellement, rituellement indéfiniment. Vive la Religion si sévère, si impitoyable qu’elle nous ferait vivre dans la perpétuelle terreur d’être encore un coup trahis par nos sales instincts, de retomber dans les mêmes vices, les mêmes tueries fratricides. Nous voulons être traités plus sévèrement que des porcs, nous l’avons mille fois mérité. Ya pas de raison qu’on nous prive ! On verra plus tard pour les paradis
sociaux. Chaque chose en son temps.

Bien entendu, à part très rares et très courageuses exceptions, les savants de la ScienceOfficielle, presque tous juifs ou francs-maçons, nient purement et simplement l’existence de la race juive. Pour couper encore plus court à toute controverse périlleuse, ils trouvent encore plus expédient de nier purement et simplement l’existence des Races et de la Race blanchearyenne, bien sûr, en particulier. « Pas plus d’Aryens que de beurre au cul. » Tel est le slogan de la Science Officielle. (C’est-à-dire judéo-maçonne). Cette déclaration, signée, vous situe, vous classe immédiatement parmi les savants affranchis, ceux sur lesquels on peut compter, ceux qui sont dignes dès le moment, des plus hautes faveurs du Pouvoir. La croix vous l’avez d’autor. Quant au racisme ! Ah ! Pardon ! C’est la convulsion d’horreur ! de l’épilepsie de dégueulage ! « La barbaresque négation de toute intelligente analyse dialectique des faits ! La plus sinistre des fariboles ! Le rétrogradisme à la nièmepuissance d’Hystérie ! Tout le crétinisme ordurier hitlérien ! » Et de pleuvoir les torrents d’imprécations torchées “à la scientifique”… ou à “l’analyste détaché olym-[207]pien des faits”… Toujours les faits ! Le genre Lavoisier !... Le genre Pasteur !... Le genre Claude Bernard… Dans les coulisses de la Science franco-juive on travaille énormément “à la manière de”…L’impression sur les foules est toujours assurée, immense, quand vous écrivez “à la manière de Pasteur”… Vous n’avez pas entendu le fameux professeur Poirier-Levisohn ? Ce qu’il leur passe aux racistes ? Ah ! Ah ! là ! là ! mon Empereur !... Cependant, malgré tout, quand même, il se trouve toujours quelques dissidents, quelques négateurs de poncifs dans les cadres les mieux choisis de la Science la plus Officielle, exemple Georges Montandon, Professeur d’Ethnologie à l’École d’Anthropologie de Paris1. Voilà ce que déclare ce très irréprochable savant
dans sa brochure récente, Mise au pointdu problème des Races : « Enfin voici le point crucial, la clef du problème somatique juif, le nez convexe juif – pris comme le trait le plus caractéristique du faciès judaïque, car ce que nous en disons est valable 1Dans la même dissidence le très remarquable discours du professeur Emmanuel Leclainche, Président de l’Académie des Sciences, de signification nettement raciste, prononcé le 30 décembre 37 en séance solennelle.

 “mutatis, mutandis” pour les autres caractères – est apparu non pas dans un domaine unique, où d’autres traits, réunis en complexe, étaient suffisants pour être considérés commecaractéristiques d’une race ; similairement à ce qui a été montré plus haut, quant à diversdomaines de l’Océanie, le trait physionomique –
le nez convexe dit judaïque – est apparu dans DEUXdomaines, c'est-à-dire deux races, mais sur une portion seulement du domaine de ces deux races ; il est à cheval, selon ce qui a été dit plus haut, sur une partie de la racealparménienne (c'est-à-dire sa sous-race arménoïde) et sur une partie de la race méditerranéenne (c'est-à-dire sa sous race araboïde). « Or l’Ethnie juive, il faut dire maintenant « l’ethnie juive » – qui a concordé à une époque, avec la nation juive, S’EST FORMÉE PRÉCISÉMENT SUR L’AIRE OÙ SE DÉVELOPPAITCE FACIÈS QUI LUI-MÊME EST À CHEVAL SUR DEUX RACES, sur les Juifs (les individus d’autres races entrés dans l’ethnie juive non compris) appartiennent à deux races quant à la boîte crânienne. « Tout en ayant un faciès, des parties molles, un MASQUE, commun à leurs ressortissants des deux races, ou du moins qui était commun à la majorité d’entre eux avant la dispersion, mais qui l’était aussi plus ou moins à leurs voisins arménoïdes non juifs et araboïdes non juifs – les uns et les autres ayant le faciès que l’on appelle judaïque ou levantin, qui chevauche, répétons-le, sur deux races, mais qui n’est pas suffisant à lui seul pour caractériser ce qu’anthropologiquement on appelle une race. – « Mais comment est-il possible que les individus de l’ethnie juive ne se soient pas – question sociologique mise à part – complètement fondus physiquement dans les races européennes au milieu desquelles ils se trouvent ? Il faut se rendre compte que les diverses races ne sont pas, à une même époque, douées de la même vitalité ; certains complexes raciaux sont vivaces, progressifs, d’autres languissants, régressifs. Or, le complexe judaïque est encore aujourd’hui physiquement vivace, et cette vitalité, combattant les causes del’anéantissement par submersion que comportait la dispersion au milieu d’autres types,maintenait le complexe caractéristique tel qu’il se révèle par la face. Et puis il y a encore un autre fait qui peut-être joue un rôle considérable. Sir Arthur Keith, Directeur de l’École des Chirurgiens de Londres, est le représentant le plus autorisé d’une tendance qui prétend que lesraces prennent naissance dans les groupes politiques, sociaux et nationaux. Il ne faut évidemment pas aller trop loin dans cette voie et la raison des grandes lignes de l’évolution est vraisemblablement interne, mais il est fort possible que les parties molles subissent unmodelage, prennent un faciès particulier, dans les agrégats politico-sociaux de longue durée. Il faudrait [209] alors admettre, et la chose est vraisemblable, que les SÉGRÉGATIONS ET LA SOLIDARITÉ JUIVES ONT ACCENTUÉ, RENFORCÉ LE MASQUE QUI LEUR ÉTAIT PROPRE. « On arrivera ainsi à la conclusion suivante quant au problème anthropologique judaïque. Ceux qui disent : « Il n’y a pas de race juive », ou bien « Les Juifs représentent une ethnie, pas une race ! » JOUENT SUR LES MOTS. Certes, il existe avant tout une ethnie juive ; c’est l’ethnie juive qui joue un rôle dans l’histoire. On peut même dire, au point de vue anthropologique : « Il n’y a pas de race juive », en ce sens que la somme des caractères judaïques n’est pas suffisante pour mettre ce type en parallèle avec d’autres types auxquels est conférée la dignité raciale. Mais, s’il n’y a pas de race juive en ce sens-là, IL Y A UN TYPE RACIAL JUIF qui permet, dans un très grand nombre de cas, de reconnaître les Juifs à leur physique. Faut-ildonner des exemples ? André Maurois (Herzog) dans la littérature, Léon Blum dans lapolitique, sont des individus chez lesquels s’accusent de la façon la plus nette les caractères que nous avons mentionnés plus haut. »

 

LA 7eme PARTIE DE "L'ÉCOLE DES CADAVRES"

de LOUIS FERDINAND CÉLINE EST ICI

 

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J
bien sur qu'il a raison , ces guerre profite qu'aux anglais ,
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J
bien sur qu'il a raison , ces guerre profite qu'aux anglais ,
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K
Quelle horreur ! Ce type était vraiment un dégueulasse : "Je me sens très ami d’Hitler, très ami de tous les Allemands, je trouve que ce sont des frères, qu’ils ont bien raison d’être si racistes" Comment peut-on écrire ça ???????
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