"BAGATELLES POUR UN MASSACRE" de LOUIS-FERDINAND CELINE (9eme partie)

Publié le par Zoso

"Le Juif vit non pas de son travail, mais de l’exploitation du travail des autres."

Rochefort.

Il ne semble guère possible de prendre tous ces petits escrocs en flagrant délit d’imposture, à moins qu’ils ne se mêlent de "transposer", de "lyriser"... Copier, plagier, comme ils s’en donnent !... Toutes nos bibliothèques grincent, gémissent, d’être tant pillées à tort, à travers... Mais transposer directement la vie, c’est une autre paire de couilles !... Les bons rêves ne s’élèvent que de la vérité, de l’authentique, ceux qui naissent du mensonge, n’ont jamais ni grâce ni force. Qui s’en soucie ?... Le monde n’a plus de mélodie. C’est encore le folklore, les derniers murmures de nos folklores, qui nous bercent... Après ce sera fini, la nuit... et le tam-tam nègre. Les bons rêves viennent et naissent de la viande, jamais de la tête. Il ne sort de la tête que des mensonges. La vie vue par la tête ne vaut pas mieux que la vie vue par un poisson rouge. C’est un jardin à la française.

La seule défense, le seul recours du blanc contre le robotisme, et sans doute contre la guerre, la régression à "pire que cavernes" bien pire, c’est le retour à son rythme émotif propre. Les Juifs circoncis sont en train de châtrer l’Aryen de son rythme émotif naturel. Le nègre juif est en train de faire dégringoler l’Aryen dans le communisme et l’art robot, à la mentalité objectiviste de parfaits esclaves pour Juifs. (Le Juif est un nègre, la race sémite n’existe pas, c’est une invention de franc-maçon le Juif n’est que  le produit d’un croisement de nègres et de barbares asiates.) Les Juifs sont les ennemis nés de l’émotivité aryenne, ils ne peuvent pas la souffrir. Les Juifs ne sent pas émotifs, à notre sens, ce sont les fils du Soleil du désert, des dattes et du tam-tam... Ils ne peuvent que nous haïr à fond... de toute leur âme de nègres, toutes nos émotions instinctives, ils les abhorrent. Etablis, émigrés, pillants, imposteurs, sous nos cieux, dépaysés, désaxés, ils singent nos réactions, gesticulent, ratiocinent, enculent mille fois et mille fois la mouche avant de commencer à vaguement comprendre, ce qu’un Aryen pas trop abruti, pas trop alcoolique, pas trop vinassier, saisit au vol, une fois pour toutes en vingt secondes... émotivement, silencieusement, directement, impeccablement. Le Juif ne s’assimile jamais il singe salope et déteste. Il ne peut se livrer qu’à un mimétisme grossier, sans prolongements possibles. Le Juif dont les nerfs africains sont toujours plus ou moins de "zinc", ne possède qu’un réseau de sensibilité fort vulgaire, nullement relevé dans la série humaine, comme tout ce qui provient des pays chauds, il est précoce, il est bâclé. Il n’est pas fait pour s’élever beaucoup spirituellement, pour aller très loin... L’extrême rareté des poètes juifs, tous d’ailleurs resuceurs de lyrisme aryen... Le Juif, né rusé, n’est pas sensible. Il ne sauve les apparences qu’à coup de perpétuelles pitreries, simulacres, grimaces, imitations, parodies, poses, "cinégéisme", photographies, bluff, arrogance. Dans sa viande même pour l’émouvoir il ne possède qu’un système nerveux de nègre des plus rudimentaires, c’est-à-dire un équilibre de rustre. Le Juif nègre, métissé, dégénéré, en s’efforçant à l’art européen, mutile, massacre et n’ajoute rien. Il est forcé un jour ou l’autre de revenir à l’art nègre, ne l’oublions jamais. L’infériorité biologique du nègre ou du demi-nègre dans nos climats est évidente. Système nerveux "expédié", rançon de la précocité, il ne peut aller bien loin... L’adolescence nègre est extrêmement brève. Un nègre est fini à quatre ans. Le Juif est anxieux de raffinement ; une obsession, s’entourer d’or et d’objets précieux, "faire raffiné". Or il n’est jamais intimement raffiné, somatiquement raffiné, impossible. J’ai vécu longtemps chez les nègres, je les connais. Grimaces. Il faut au nègre comme au Juif de la dorure, beaucoup de dorures de tambour, de tam-tam, de publicité pour qu’il se réveille... Il ne comprend que la grosse caisse, ou la seringante trompette arabe, au mieux. Il passe à travers toutes les nuances, il bondit, galope, s’écroule, chie sur les violettes dès qu’on le lance sur les jardins,  comme un chien mal dressé... Et dire que nous sommes devenus les esclaves soumis de ces sous-brutes dépaysées ! Le Juif demeure, en dépit de tant de contorsions au bout de toutes ces pitreries, beaucoup plus bûche que violon... désastreusement impénétrable à toutes les ondes de l’intuition, aux enthousiasmes impersonnels, une buse avide, follement prétentieuse et vaine. Et puis, au comble du culot, il se fait critique.

Je veux avoir à mon enterrement la Fanfare de Tel-Aviv et les "Cadets" de la rue Triangle.

Dieu sait si le Juif essaye de se polir, de s’affiner "aryennement", pour mieux nous tromper, nous engluer, nous étrangler. En dépit de ce gigantesque labeur, il demeure après tant de siècles, l’insurpassable gaffeur des cinq continents.

Il est en fait extrêmement difficile de découvrir parmi les plus abrutis alcooleux, déjetés Aryens bouzeux, quelque individu qui puisse être comparé question de "gaffe", au plus "raffiné" des Juifs. En toutes circonstances un peu délicates, vous reconnaîtrez le Juif à ce qu’il se précipite littéralement pour gaffer. Il se trahira, pataugeant à deux pieds et quels pieds ! (d’afro-asiatique, enfant des sables, palmés). Il est normal qu’il nous haïsse, tout autant pour notre sens émotif spontané, notre sensibilité d’Aryen, notre lyrisme aryen pour notre humanité directe, que pour toutes les autres raisons du monde à là fois. Pourtant déjà fort suffisantes... Cette supériorité biologique le vexe intimement l’humilie, l’irrite au possible, l’enfurie bien plus que toutes les résistances pondérables qu’il lui arrive de soupçonner... Anxieux de gaffer, il redouble aussitôt de tyrannie. Mais après la grande "standardisation", le Juif sera bien tranquille, les gaffes ne compteront plus... Qui s’en apercevra ?... Pas les robots ! Vive la Liberté juive gaffeuse !...

Je ne suis pas "M. Chèvre et Chou". Je ne pèse pas le Pour et le Contre. Les Juifs, eux, foncent, raflent et nous expulsent. C’est pour nous les dosages "pour et contre", les enfioteries pusillanimes. Nous en crevons.

Le Juif a déjà presque tout "standardisé" dans le domaine des arts majeurs. Il fait en ce moment de très grands efforts pour standardiser la littérature mondiale, traductions, agences littéraires, cénacles, académies, sont à pied d’œuvre, donnent à fond. Un tout petit fait entre mille : Pensez-vous, chers cocus, que ce soit naïvement, par effet du pur hasard, que l’Académie Goncourt, dans ses choix, lauréats, académiciens... s’enjuive chaque année davantage ?... Il faut au pouvoir juif de nombreux agents, des fourriers très zélés, bien placés, dociles, dévoués, finement gangsters, ils sont indispensables pour que l’armée de standardisation juive procède sans coup férir à l’étranglement de l’art indigène dans tous les domaines, les moindres replis, spirituels, matériels. Les traductions feront le reste, le gros ouvrage d’abrutissement. Mais il est indispensable d’ores et déjà que soigneusement l’on dégoûte, minimise, sape, scie, sans répit, implacablement, par tous les moyens, tous les créateurs, toute l’élite aryenne, Que le lit, le dais, les sinécures, les assurances, les trônes de toutes les pelures, les pires resucées, spongieuses galettes juives, rapidement s’édifient sur les décombres de l’art autochtone. La grande invasion par le film et les traductions ne doit être arrêtée par rien. On encule au millimètre, le premier centimètre c’est le plus dur, le plus coûteux... pour les suivants ça va tout seul ! Tous les pédérastes nous l’affirment. N’importe quel trou du cul peut devenir, bien enculé de publicité, un immense n’importe quoi, l’objet d’un culte, une  suprêmissime vedette, un criminel horriblissime, une léviathane catastrophe, un film dantesque, une pâte à rasoir cosmique, un transatlantique qui fait déborder la mer, un apéritif qui fait tourner la terre, le plus grand Lépidaure des Ages, le Président du Conseil qui bouffe les casquettes vivantes. Plus c’est cul et creux, mieux ça porte. Le goût du commun est à ce prix. Le "bon sens" des foules c’est : toujours plus cons. L’esprit banquiste, il se finit à la puce savante, achèvement de l’art réaliste, sur-réaliste. Tous les partis politiques le savent bien. Ce sont tous des puciers savants. La boutonneuse Mélanie prend son coup de bite comme une reine, si 25.000 haut-parleurs hurlent à travers tous les échos, par-dessus tous les toits, soudain qu’elle est Mélanie l’incomparable... Un minimum d’originalité, mais énormément de réclame et de culot. L’être, l’étron, l’objet en cause de publicité sur lequel va se déverser la propagande massive, doit être avant tout au départ, aussi lisse, aussi insignifiant, aussi nul que possible. La peinture, le battage-publicitaire se répandra sur lui d’autant mieux qu’il sera plus soigneusement dépourvu d’aspérités, de toute originalité, que toutes ses surfaces seront absolument planes. Que rien en lui, au départ, ne peut susciter l’attention et surtout la controverse. La publicité pour bien donner tout son effet magique, ne doit être gênée, retenue, divertie par rien. Elle doit pouvoir affirmer, sacrer, vociférer, mégaphoniser les pires sottises, n’importe quelle himalayesque, décervelante, tonitruante fantasmagorie... à propos d’automobiles, de stars, de brosses à dents, d’écrivains, de chanteuses légères, de ceintures herniaires, sans que personne ne tique... ne s’élève au parterre, la plus minuscule naïve objection. Il faut que le parterre demeure en tout temps parfaitement hypnotisé de connerie.

Vous savez combien leur multitude est considérable, combien ils (les Juifs) sont unis, combien ils ont d influence dans nos assemblées.

Cicéron.

Évidemment que les Juifs, au départ, avaient grand intérêt à choisir les auteurs judéo-anglo-saxons pour mener à bien leur standardisation mondiale littéraire, même tabac que pour les films. Identiques manigances. Une langue immensément répandue dans le monde, dont les livres se vendent déjà parfaitement sur leur marché d’origine. Voici l’immense atout de ces Juifs "standardistes". Prenez un auteur "moyen" français, qui se tire en France, dans les bonnes passes, par exemple à 20 000 exemplaires, le même auteur, tout à fait moyen, mais anglais, sur son propre marché anglo-saxon, se "tire", très normalement, automatiquement, à 200, 300 000 exemplaires.

Pour cette simple raison que le marché judéo-anglo-saxon est infiniment potentiellement beaucoup plus riche que le marché miteux français (100 millions de lecteurs possibles au lieu de 2 à 3 millions). Parfaitement égaux en tous points de toute leur médiocrité, l’auteur anglais deviendra cependant un auteur "très connu", d’un "immense talent" par tirage décuplé, donc gavé de droits et de ristournes, tandis que le pauvre auteur français végète ou crève littéralement de misère (s’il n’est pas quelque part fonctionnaire de l’État, soit deux fois abruti).

Il existe au théâtre quelques exceptions, mais ce sont forcément tous des Juifs. Ils misent sur tous les tableaux, les plus faisandés de l’Internationale juive : cinéma, police, radio-théâtre, politique, banque, ils se sont voués dès le prépuce au troc des moutures  internationales. Mais quant au livre, l’avantage immense, incomparable, le privilège royal des anglo-saxons, c’est leur marché centuple du nôtre...

C’est ainsi, par l’effet du "nombre" que les très insignifiants Lawrence, Huxley, Cohen, Wells, Cahen, Lewis, Shaw, Faulkner, Passos, etc. dont on nous bassine interminablement à longueur de Revues enthousiastes atteignent avec un peu de snobisme et de gonflage publicitaire des renommées fantastiques ! des "Victor Hugo Prix uniques" !... tout à fait marrantes quand on connaît les oiseaux. Les Juifs, pour nous les imposer, comptent énormément sur le snobisme et la jacasserie des petites cliques dites "d’avant-garde"... judé-artistico-enculagaillantes-communisardes et ne se trompent guère. Tout ira parfaitement, nos miches en ont vu d’autres.

Vive la Liberté ! Non ! Vive la Liberia ! Avec quelque chose de Tartare ! En plus !

Lorsque les Juifs se passionnent pour le Folklore et les classiques (voir Comédie-Française aux 8/10 juives) c’est pour mieux vous étouffer, mes enfants ! Mettre peu à peu leurs propres ouvrages juifs au niveau des classiques, et puis éliminer les classiques, les sacquer, le Folklore de même, tout à fait, vous verrez ! Les Juifs sont les plus grands lecteurs du monde, ils démarquent, fouinent, pillent, enjuivent sans arrêt, tout ce qui leur tombe sous les lunettes, qui peut leur servir, les servir, tout ce qui peut se traduire en propagande juive, chansons, romans, musique, s’enjuiver.

Les Aryens surtout les Français, détestent les livres, les "idées creuses" (Ah ! mais !... Ah ! Mais !... on se fout d’eux alors ?). Ils exigent du positif ! De la substance ! Quelque chose de rationnel ! D’objectif ! Pour qui les prend-on ? Bon sang ! Bon sens ! Nom de Dieu ! Bon sens ! Descartes ! Cette exigence en "positif" quand on l’examine un peu, consiste à se vautrer rotant, sans dessein précis, sur tous les "cancans" du jour et du guéridon bafouiller à tort et à travers entre les bobards d’affiches. La grande prouesse, l’orgueil, l’exploit, c’est d’apprendre et savoir par cœur une pancarte électorale, une entière, bien éclairante (toute juive forcément). Vinasser, ragoter encore, beloter, affûter les panoplies, lancer de nouveaux défis. Voici pour le positif, la vie spirituelle, artistique et morale de l’Aryen complet.

Peut-être ira-t-on de loisir, clabauder au gré des hoquets... un peu partout... le temps que s’épuise la vinasse... qu’elle remonte...  roter encore les bonnes consignes des journaux juifs... montrer sa culture aux passants... leur faire apprendre aussi, à ceux-là, les longs mots d’ordre des meneurs juifs... Les ordres en somme qu’on a déchiffrés tant bien que mal... Les instructions des invisibles maîtres... qui ne vous oublient pas... ceux qui commandent... inévitablement... invariablement de se haïr de mieux en mieux entre frères de race blanche, de se nuire par tous les moyens en attendant la prochaine guerre, à "l’heure juive"... ils seront alors tous ensemble les Aryens cocus, d’un cœur vraiment unanime, enfin unanime... Ils se feront massacrer tous ensemble pour les Juifs.

Les femmes, tout aussi alcooliques que les hommes, sont encore si possible un peu plus abruties que les hommes... par les ragots interminables, leur mesquinerie délirante "ménagère", "l’espionnite des bignolles", la rage, l’hystérie de tout médiocriser, de tout juger, de tout ravaler au plus bas, encore plus bas, de plus en plus bassement, toute parole, tout inconnu, toute œuvre, tout lyrisme, tout mystère, sauf la merde bien entendu, la magnifique merde juive, dont elles raffolent et se régalent encore plus effrénément, plus aveuglément que les hommes... Ce sont elles qui entraînent leurs maris, qui les forcent au cinéma les habituent aux superfadaises de l’écran, à la bonne "idéolochie", matérialiste objectiviste, youtre... A la vénération du super-confort, des superproductions; des super-branlées platitudes youtres, aux super-smokings, super-cocktails, super-bagnoles, enfin toute la super-connerie mécanisante et robotisante des salles obscures, de ces cavernes cent mille fois plus abrutissantes que les pires idolâtriques catacombes des premiers siècles. Tous ces miséreux, ces serfs délirants, complètement vermoulus par la propagande "idéolochique" de la radio du film et du "cancan" délirent à présent de désirs matériels et de muflerie militante. Les chômeurs louent des smokings !

"On s’en foutra nous aussi, plein la gueule ! On les enculera vos putains." Voire cocus ! Les Juifs vous attendent au détour, abrutis dévergondés ! Pour vous sonner drôlement les cloches, pour l’incarcération finale, le passage définitif des menottes, du tabac, au moment précis... au moment où les geôles juives impeccables, communistes, déjà prêtes (modèle russe) se refermeront sur vous sur vos paroles, vos pipes, roteurs, bourriques ! Elles se refermeront sur vous !... On vous les fera ravaler à grands coups de crosses dans le buffet, vos paroles de haine et de revendications. Vous vous écroulerez dans les fers entièrement avilis, pourris, vous continuerez à roter, complètement décervelés par tant et tant de sottises vociférées pour tout jugement, sur tous les tons de l’univers, Aryens devenus bien "Robots", vous voterez tous comme des robots, pour les ceusses qui remonteront vos mécaniques, toutes vos pendules, qui vous fourniront tout le courant : les Juifs.

Pourquoi n’aurais-je pas le droit, dans mon pays, de hurler que je n’aime pas les Juifs Les francs-maçons se gênent-ils pour mener une guerre à mort contre les curés Nous sommes en fascisme juif.

En vous parlant de toutes ces choses de traductions, de librairie... je me suis animé un peu... N’allez point m’estimer jaloux ! Ce serait mal reconnaître ma parfaite indépendance. Les Juifs, je les emmerde bien, ils peuvent gentiment me le rendre, à droite, comme à gauche, comme au centre, en travers, au particulier. Ils ne me gênent personnellement qu’un petit peu, presque pas. Il s’agit d’un conflit tout à fait "idéolochique".

Certes, j’observe que par l’entremise des youpins : éditeurs, agents, publicistes, etc., sous l’influence des films, scénarios juifs, agresseurs, branleurs pourrisseurs, de la politique juive en somme des consignes juives, occultes où officielles, la petite production artistique française, déjà si maigrichonne, si peu rayonnante, est en train bel et bien de crever... Les Juifs doivent écraser tout c’est entendu... Mais la vie n’est pas si longue, ni si joyeuse que cela puisse en vérité vous empêcher de dormir. Et puis demeurons tout à fait équitables, les Juifs furent toujours bien aidés dans leur œuvre de destruction, d’asservissement spirituel par les maniérismes "façon noble, renaissant" et puis ensuite pusillanimes, bourgeois officiels, enfin toute la châtrerie académique, puristique, désespérément obtuse dont succombent nos arts dits français.

Ce qui nous gêne le plus dans les Juifs, quand on examine la situation, c’est leur arrogance, leur revendicarisme, leur perpétuelle martyrologo-dervicherie, leur sale tam-tam. En Afrique, chez les mêmes nègres, ou leurs cousins au Cameroun, j’ai vécu des  années seul, dans un de leurs villages, en pleine forêt, sous la même paillotte, à la même calebasse. En Afrique, c’étaient des braves gens. Ici, ils me gênent, ils m’écœurent. Ils ne devenaient tout à fait insupportables au Cameroun, qu’au moment de la pleine lune, ils devenaient torturants avec leur tam-tam... Mais les autres nuits, ils vous laissaient roupiller bien tranquille, en toute sécurité. Je parle du pays "pahoin", le plus nègre pays de nègres. Mais ici, à présent, en France, Lune ou pas Lune, toujours tam-tam !... Nègres pour nègres, je préfère les anthropophages... et puis pas ici... chez eux... Au fond, c’est le seul dommage qu’ils me causent, un dommage esthétique, je n’aime pas le tam-tam... Quant à la matérielle, mon Dieu ! il m’était extrêmement facile de m’arranger... Je pouvais me payer le luxe, non seulement d’ignorer toutes ces turpitudes, mais il m’était enfantin de profiter, et comment, fort grassement, mirifiquement de cette invasion murine... putréfiante... Mille moyens, mille précédents ! Il m’était loisible entre autres, si l’on considère mes charmes, mon très avantageux physique, ma situation pécuniaire solide, d’épouser sans faire tant d’histoires, quelque petite juive bien en cour... bien apparentée... (Il en vient toujours rôder, tâter un peu le terrain), me faire naturaliser par là même, "un petit peu juif"... Prouesse qui se porte superbement en médecine, dans les Arts, la noblesse, la politique... Passeport pour tous les triomphes, pour toutes les immunités... Tous ces propos, j’en conviens, tiennent du babillage... Bagatelles !... Babillons !... Nous avons noté que les Juifs semblent avoir choisi l’anglais pour la langue de standardisation universelle (ils faillirent opter pour l’allemand)...

N’est-il pas amusant à ce propos d’observer que les jeunes Juifs des meilleures familles (Juifs français compris), se rendent le plus souvent à Oxford pour achever leurs études. "Finishing touch !" Suprême vernis ! Si je voulais, si les circonstances m’obligeaient, je pourrais peut-être écrire directement mes livres en anglais. C’est une corde pour me défendre, une petite corde à mon arc. Je ne devrais pas me plaindre... Mais personne ne m’a fait cadeau de mon petit arc... J’aurais bien voulu qu’on me fasse dans la vie quelques cadeaux ! Tout est là !... Pour le moment je préfère encore écrire en français.. Je trouve l’anglais trop mou, trop délicat, trop chochote. Mais s’il le fallait... Et puis les Juifs anglo-américains me traduisent régulièrement, autre raison... et me lisent !... Nous ne sommes pas très nombreux, parmi les auteurs français  de la "classe internationale". Voilà le plus triste. Cinq ou six, je crois... tout au plus, qui pouvons étaler... C’est peu... beaucoup trop peu !... L’invasion est à sens unique, cela me gêne.

Les éditeurs judéo-anglo-saxons, très au courant des choses de la fabrication littéraire, les reconnaissent les romans "standard", ils en font fabriquer d’exactement semblables, tous les ans, par milliers, chez eux. Ils n’ont que faire de "répliques", s’embarrasser d’autres postiches... Personnellement, il me sera possible, sans doute, de me défendre encore pendant quelque temps, grâce à mon genre incantatoire, mon lyrisme ordurier vociférant, anathématique, dans ce genre très spécial, assez juif par côtés, je fais mieux que les Juifs, je leur donne des leçons. Cela me sauve. Je passe chez les Juifs des États-Unis pour un esprit fort. Pourvu que ça dure !

Nous ordonnons que tout Juif maudisse trois fois par jour tout le peuple chrétien et prie Dieu de l’exterminer avec ses rois et ses princes.

Le Talmud

Tout à fait par hasard je tombe l’autre jour sur un journal que j’ignorais : "L’Univers Israélite", du 15 novembre 1937... Nous avons tort de ne pas lire régulièrement "L’Univers Israélite". Un seul numéro de cet U.I. nous apprend beaucoup plus de choses essentielles sur la marche du monde, que toute notre presse trahisonnante, pour esclaves, pendant tout un mois.

Ainsi nous lisons : "L’Art de Hâbimah. À l’Exposition 1937". Vous allez voir comme s est instructif...

"L’art en général peut être divisé en deux catégories : art national et art international...

"Au premier, appartiennent principalement les artistes de la parole :

Poètes, orateurs, acteurs...

"Au deuxième, les peintres, les sculpteurs, les musiciens, les chanteurs. Le rayon des artistes de la parole est très limité; il s’étend sur tel pays, ou tel autre – parfois il embrasse aussi un pays voisin. En d’autres termes les artistes de la parole sont organiquement liés à leur terre, et seul leur peuple les connaît, les comprend, les apprécie à leur juste valeur.

"Plus heureux est l’art international : ses enfants doués sont chéris dans le monde entier, ils sont partout chez eux, pour eux, tous les peuples ont des yeux et des oreilles. Les exemples ne manquent pas ! Picasso et Chagall, Rodin et Epstein, Duncan et Fokine, Menuhin, Heifetz, Chaliapine...

« De très grands artistes de la parole rompent de temps à autre les barrières de leur langue et de leur pays et deviennent internationaux – telles la Duse et Sarah Bernhardt. Mais cela n’arrive que très rarement, il faut pour cela un talent extraordinaire, prodigieux, une situation particulière, une rare énergie, une langue universellement répandue. »

« Vachtangoff, ce génial metteur en scène russo-arménien – et en certain sens aussi juif – s’est créé une méthode nouvelle. Il n’a pas voulu attendre que le grand, le très grand artiste fût né : il l’a pétri lui-même, lui a insufflé une âme vivante. Il y est parvenu principalement parce qu’ il a su unir tous les talents de la parole en un ensemble magnifique, tous les tempéraments artistiques en un seul rythme, avec les qualités des uns suppléer aux défauts des autres. De plus, il avait incorporé dans chaque pièce théâtrale tous les arts possibles, musique et peinture, chœurs, danses et chants. Il ne l’a pas fait d’une façon mécanique mais d’une manière organique comme la religion dans ses extases de prières et de foi. »

La langue de la Bible, si belle qu’elle paraisse dans la bouche des artistes de "Habimah" ne joue qu’un rôle minime.

Ce n’est pas en vain que de nombreux théâtres se sont mis à imiter "Habimah" dans son art, ils ont entrevu la colombe de l’Arche de Noé, l’annonciateur d’une expression internationale pour les artistes de la parole, ces émissaires spirituels qui créent des liens entre les peuples mieux que n’importe quel représentant diplomatique. C’est pourquoi nous devons tous saluer "Habimah" et ses artistes, à l’occasion de leur nouvelle apparition à Paris, contribuer à leur succès moral et matériel. Nul mieux que "Habimah" ne saurait parler pour nous au cœur des peuples étrangers qui ne nous connaissent pas ou ne veulent pas nous connaître.

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On nous communique :

Qu’à l’occasion des représentations du théâtre "Habimah", un comité de réception a été formé et est composé de MM. :

Les grands-rabbins M. Lieber et Eisenstadt, Louis Jouvet, Charles Dullin, Gaston Baty, Georges et Ludmilla Pitoëf, Pierre Renoir, Marc Chagall, Max Nordau, Naoun Aronson, Chana Orloff Jules Adler, Georges Duhamel, de l’Académie française, Victor Basch, André Maurois, Chalom Asch, Z. Schneour, Paul  Abraham, Edmond Fleg, André Spire, Henri Hertz, Joseph Milbauer, Ivan Goll, Dr. Weill-Hallé, Me Marcel Mirtil, Louis Asscher, Robert Lévy, O. Pernikoff, I. Jefrykin, Léonard Rosenthal, René Rocher, Maurice Lhemann, I. Naïditch, Léonce Bernheim, M. Jarblum, Nahoum Hermann, Joseph Fischer, etc.

Prague :

"L’Agence télégraphique juive nous apprend que M. Léon Blum, vice-président du Conseil, qui représentait le gouvernement de la République aux obsèques du Président Masaryk, a profité de son séjour à Prague pour visiter la vieille et célèbre synagogue : Altneuschul. M. Léon Blum, qui était accompagné de Mme et Mlle Blum, a été reçu à la synagogue par le président de la communauté juive de Prague qui lui a souhaité la bien venue en français et en hébreu."

Palestine :

"Le Conseil Municipal de Tel-Aviv a décidé de donner à une rue de la ville, le nom du président Masaryk."

(Le Président Masaryk, malgré toutes les effronteries journalistiques, détestait la France, grand prince de la franc-maçonnerie en Europe Centrale, il ne devait tout son pouvoir qu’à la juiverie franc-maçonne et communisante. Il ne jurait que par la culture judéo-anglaise. Il a préparé de toutes ses forces avec Bénès l’avènement du Judéo-Bolchevisme en Europe. La Tchéco-Slovaquie n’est que la citadelle avancée du Kremlin en Europe.)

Vienne :

"A la demande du gouvernement hongrois, les autorités de Vienne ont arrêté le Dr Buxbaum, de Jérusalem, délégué au récent congrès de I’Agoudath Israël à Marienbad.

"Le gouvernement hongrois demande l’extradition du Dr Buxbaum qui aurait fait partie, en 1919, du gouvernement de Béla Kuhn. Il avait été condamné à mort par le tribunal militaire, après la fin du régime communiste, mais réussit à fuir et se réfugia en Palestine.

"Le consul britannique à Vienne a protesté contre l’arrestation du Dr Buxbaum, celui-ci étant citoyen palestinien."

("Juif" et "anglais" sont parfaitement synonymes, il faudrait bien s’en persuader, un Juif ou un Anglais c’est pareil.)

Petits faits divers

Palestine :

«Cependant le K. K. L. est resté et reste le grand acheteur foncier du Foyer national juif, puisqu’en 1937 il s’est rendu acquéreur de 20 000 dounams de terres, sur les 25 000 dont les Juifs sont devenus propriétaires.

"Malgré tous les obstacles, le K. K. L. compte réunir, cette année, un demi-million de livres. On n’est pas a court d’offres, car la grève a été désastreuse pour l’économie arabe. Aussi les Arabes sont-ils prêts à vendre tout ce qu’ils peuvent.

"Il y a seize ans, le Keren Kayemeth possédait seulement 20 000 dounams de terres. Aujourd’hui nous en avons plus de 400 000. Nous avons réalisé la réforme foncière, qui consiste à nationaliser le sol, et nous l’avons fait magnifiquement."

L’Armée :

«Nous apprenons avec le plus grand plaisir la nomination de M. le Médecin Général Worms, professeur agrégé, actuellement directeur du Service de Santé du 1er Corps d’armée, comme directeur de l’Ecole de Santé Militaire à Lyon, et lui adressons nos plus sincères félicitations."

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Et chaque numéro de l’"Univers Israélite" contient pour le moins autant de renseignements, d’enseignements très précieux que ce banal exemplaire. Absolument inutile de lire nos autres cancans indigènes, tous endormeurs, fourvoyeurs, sournoisement frivoles (par ordre). "L’univers Israélite" les devance, les résume, les domine, les éteint tous de très haut, de très loin. Il nous donne les véritables nouvelles du Monde et de la France. Voilà "L’Eclaireur de France".

Encore de l’"Univers Israélite" du 19 novembre 1937 :

«Me J. Tchernoff a fait le dimanche 7 novembre, devant les auditeurs de "Chema Israël" une très remarquable conférence sur le Judaïsme, source de justice et de morale... Nos lecteurs connaissent Me Tchernoff, avocat réputé du barreau de Paris, l’un des maîtres incontestés du droit pénal financier, historien, sociologue, écrivain... et excellent juif (textuel). Me Tchernoff s’est toujours penché avec compréhension et sympathie sur "les problèmes juifs...", etc., etc.

Que nous apprend donc Me Tchernoff au cours de cette "remarquable conférence" ?... "Qu’il est absurde et criminel de vouloir identifier le judaïsme et le bolchevisme une doctrine de calme et d’évolution avec une doctrine de violence et de révolution..."

Est-on plus culotté ?...

Que nous raconte encore Me Tchernoff ?...

"La Révolution bolchevique 1917 à laquelle ont pris part entre "autres quelques Juifs déjudaïsés..." Magnifique !... sublime... Prenez ici le Juif en flagrant délit de disculpation, de propagande communiste oblique... "Quelques !"... "Déjudaïsés !"... Délicieux ! Adorable ! Suprême !... À s’en tordre la synagogue !... Mais le premier conseil des Commissaires du Peuple "17" fut précisément entièrement constitué par des Juifs... Et depuis lors cela n’a pas changé !... Me Tchernoff le sait mieux que personne !... "Déjudaisés !" Mais le Komintern c’est le Judaïsme même !... Le Consistoire le plus exécutif !... Le plus ardent, le plus intransigeant, le plus sanglant de la Planète !...

L’occasion est excellente puisque nous touchons à la Révolution 17 de parler encore un peu du fameux Félix M. Warburg... le grand banquier juif de New-York, vous savez ? le gendre de Jacob Schiff, chef de la famille Warburg, de la clinique Loeb, Barush, Hanauer, etc. Warburg qui subventionna le vieux breton Trotsky (15 milliards, puis 200 milliards), Parvus, Lénine et tous les autres pour révolutionner la Russie en 17. L’était-il aussi celui-là "déjudaïsé" ?... Ce "l’un des quelques juifs" ?...

Il n’y paraît guère... Il vient précisément de mourir à New-York le 20 octobre dernier, ce très puissant Félix M. Warburg, véritable instigateur, créateur du Communisme en Russie (calmez-vous, la famille Warburg n’est pas éteinte)... Qu’apprenons-nous à propos de cette mort... Que toutes les synagogues du monde entier résonnent, bourdonnent actuellement en prières pour le repos de son âme... Quel émoi dans les Consistoires !... Ce ne sont que services funèbres solennels après services solennels... Précisément à Paris le 31 octobre dernier, M. Léon Bramson, président de l’Ort (la grande œuvre juive)... M. R. de Rothschild, MM. Bodenheimer, Bader, Weill, etc.. portent les paroles de lamentation... Nous trouvons toute la haute juiverie dans les larmes... et la petite juiverie de même... avec les "bonnes œuvres"... Toute la tribu se presse autour de ses rabbins pour gémir à la perte de son très grand Juif de patriarche, américano-soviético-milliardaire. "L’extraordinaire charme qui émanait de Félix M. Warburg, sa grande noblesse de "caractère, sa générosité, son dévouement à l’œuvre de reconstruction économique des masses juives déclassées... Ce fut au cours de la grande guerre et des années qui suivirent que le disparu, constamment sur la brèche, s’employa le plus activement et le plus généreusement à alléger les souffrances et à panser les maux inouïs causés par la guerre aux millions de Juifs de l’Europe Centrale et Orientale... Grâce à lui, le judaïsme américain coordonna ses efforts..., etc."

Tu parles !... En somme l’éloge funèbre d’un grand monarque universel... Justice d’ailleurs... Justice !... Louis XIV n’était qu’un très petit sire en fait de victoires à côté de Félix M. Warburg de New-York !... Lui pouvait causer d’un règne triomphal !... Comprenez-vous ces très beaux euphémismes ?... "les masses juives déclassées..." chers cocus ? "la coordination des efforts ?... l’allégement des souffrances ?...". La "déjudaisation" ?... Tendez le poing !... Allons encore une bonne fois !... Le signe de croix juif ! Comme dans les synagogues, comme Place de la Nation ! Pour l’âme de Mr. Warburg... Pour sa félicité complète ! Mon cher veau !... Les enfants Warburg ont les yeux sur vous !... ainsi que MM. Barush... Loeb... Hanauer... Brandès... Samuel... Belisha... Kaganovitch... Rothschild... Blum... et sa sainteté même le Pape... "déjudaisé"... comme vous dites.

C’est un commandement pour tout Juif de s’efforcer d’anéantir tout ce qui touche à l’Église chrétienne et ceux qui la servent. Le Christ est le fils d’une Prostituée. Il est Ben Pendera, c’est-à-dire le fils d’une bête lubrique.

Le Talmud

Toujours dans l’"Univers Israélite" (25 juin 1937)

«Où va l’Europe sans les Esprits Judéo-Chrétiens. Conférence du R. P. Dieux (superbe !), Théâtre des Ambassadeurs. Dieux ne nous l’envoie pas dire... :

«Entre Chrétiens et Juifs aucune divergence... Israël a souffert pour répandre dans le monde la conception de Dieu, la plus belle... la plus pure... la plus noble..." Vive la Bible... Nom de Dieux ! Et l’auteur cite André Gode (textuel) sur l’indignité de l’homme en U. R. S. S... plus loin, Dieux ajoute... : "Le Pape et les représentants qualifiés du Protestantisme et du Judaïsme ont solennellement condamné le racisme (tu penses !), les simples citoyens doivent suivre cet exemple... Mais, à elle seule aucune compression n’est assez puissante pour entreprendre une lutte efficace. C’est pourquoi il faut organiser le Front Judéo-Chrétien (Front populaire céleste en somme) pour la défense de la liberté"...

"Deux spectres doivent rester du passé : l’antisémitisme et l’antichristianisme, parce que l’antisémitisme est le premier chapitre de l’antichristianisme. Déjà, un peu partout, les croyants de toutes les professions s’associent. Les rabbins de France protestent contre la persécution des catholiques en Espagne, et chez les Juifs on commence à comprendre la grandeur de Jésus... Le grand événement de l’avenir, ce sera la rencontre de tous les  fils de la Bible et de l’Évangile... Mais en attendant ce jour lointain, pour sauver la Paix, la civilisation et la Révélation, il faut nous tendre la main", conclut l’orateur sous les chaleureux applaudissements du public..."

Nous ne rêvons pas... Ce "Dieux" au pluriel, est sûrement franc-maçon... et plus sûrement encore Juif comme le Pape... Et puis comble ! Le diable est partout ! Le compte rendu de cette séance est signé : Mandel.

Je ne voudrais point malgré tout pour autant que mon simple avis ait une importance quelconque, faire du chagrin autour de moi... Il se trouve toujours quelques héros, parmi tant de velléitaires, enculomanes, pluriproustiens, gidois bordeauxlaids... Leur mérite est d’autant plus immense dans un pays où le lecteur, acheteur, se révèle en définitive tout aussi rare, clairsemé, invraisemblable, que la grouse furtivole aux Buttes-Chaumont. Voici donc une phalange bien stoïque, allant toujours s’amenuisant, s’effritant chaque jour davantage, toute succombante aux basses besognes de journalisme et de radio. Rivée par les youtres à la galère des litanies juives pour masses ivrognes...

D’autre part, je le dis de suite, il serait erroné de croire que je me prends pour un modèle, que je voudrais qu’on me copie !... Bien sûr j’ai ma petite musique, ceux qui peuvent en dire autant ne sont pas encore si nombreux par les temps qui courent... Ils deviennent même, à cause de la mécanique, de la fatigue cérébrale, du frénétique châtrage objectiviste, de plus en plus rares. Cela m’empêche d’être jaloux... C’est pour les autres la jalousie. Ce serait inepte de ma part... Je râle par principe. C’est tout. Je n’aime pas voilà, les défis, l’imposture, les faux blases. Tous ces gens qui installent, me choquent et m’excèdent. J’ai le droit. Je sais nettement que l’art Gidien après l’art Wildien, après l’art Proustien, font partie de l’implacable continuité du programme juif.  Amener tous les goyes à bien s’enculer. Pourrir soigneusement leur élite, leur bourgeoisie par l’apologie de toutes les inversions, les snobismes, les vanités, les énerver, les gangrener, les ridiculiser de telle manière qu’à la moindre secousse du prolétariat que les Juifs auront parfaitement, méticuleusement dopé d’avance, farci de haine et d’envie, cette prétendue élite, bascule tout au fond de son cloaque. Une bonne chasse au sang, et tout sera dit !... emporté dans l’égout !... un vertige !...

Revenons à ce qui me concerne humblement. Je ne force personne d’acheter mes livres. Toute la critique est bien en quart, à la porte de chaque librairie pour empêcher qu’on m’achète. Le lecteur éventuel se trouve soigneusement prévenu, la critique bien enjuivée (de droite comme de gauche, je répète) extrêmement virulente pour débiner ma camelote. Même les libraires me sont hostiles en majorité. Ils ont leurs goûts à eux, des goûts de Français bien rétrécis... ils déplorent... les sales cocus ! Ah ! Si j’avais voulu hurler avec les "émancipateurs", comme cela me fut tant de fois proposé ! Huit jours encore avant "Mort à Crédit" pas un seul journal de la "gôche" qui ne soit venu par envoyé spécial, me passer une petite liche bien fourrée. M’offrir ses colonnes et à quels prix !... Huit jours plus tard quel déluge ! Ah ! les saloperies fumières !.. Ah ! Comme ils sont tous vils et fiotes ! Comme Gide a bien fait, Nom de Dieu, de bien tous les enculer ! Je veux bien moi qu’on m’achète plus. Je connais deux cents autres manières et des bien moins fatigantes pour trouver mon bœuf... Tous ces bigleux mangeront de la merde que je me taperai des vraies grives encore. Ah ! si j’avais hurlé comme eux, comment qu’ils m’auraient trouvé beau ! Un Lion ! Prophétique messager ! Insurpassable ! Ah ! Qu’ils m’auraient intitulé : Une des Voix du Monde !... Ah ! S’ils peuvent courir vraiment aussi vite que je les emmerde comme ils vont le gagner le Grand Prix ! Quelle importance ces misères ? Je déraille !... J’ai quelques confrères admirables, je ne les cite pas tous, je ne veux pas leur faire du tort. Tenez Siménon des "Pitard", on devrait en parler tous les jours ! Marcel Aymé réussit le conte mieux que Maupassant. Les "Conquérants" de Malraux, pour autant que j’en puisse juger, voici du chef-d’œuvre ! Evidemment a présent la presse juive "l’engénise" à perte de souffle. Ce sont les horreurs du métier. Elie Faure, bien qu’à mi-youtre, si franc-maçon me passionne, sauf quand il parle d’amour, alors il déconne à pleine bourre, il se met  à peser d’un seul coup plusieurs tonnes de merde gaffeuse, comme presque tous les enjuivés lancés dans le sentiment. Je me ferais mourir pour Lenôtre.

Dabit de la "Villa Oasis" si peu remarquée.. Morand (quand il essaye pas de faire du roman, de l’émotion) me paraît être le modèle de tout vigoureux écrivain du genre. Et Mac Orlan ! Il avait tout prévu, tout mis en musique, trente ans d’avance. J’aurais chez moi, si je pouvais, tous les "Dessins animés". C’est vous dire que je suis bignolle, pas délicat pour un rond... Je veux bien (voyez-vous ça) de tous les genres, aucun ne me semble inférieur, à condition que la matière soit organique et organisée, que le sang circule, partout, autour et dedans à partir du cœur, respire avec les poumons, tienne debout, en somme, que le truc tourne avec un point de catalyse bien vivant, le plus vivant possible, insupportable ! au centre bien caché. Bien scellé, au tréfonds de la viande, qu’on ne me trompe pas que cela palpite qu’on ne me vante pas tel pauvre cadavre en froufrous babillards... Tous ces tricheurs pourris, ces velléitaires genre "génie", ces inorganiques me font rendre. Je donnerais tous les Proust de la terre et d’une autre encore pour "Brigadier vous avez raison", pour deux chansons d’Aristide. Si l’on se met à délirer il faut vraiment avoir la fièvre... faut pas faire semblant !... J’aime encore mieux Claude Farrère que douze ou treize faux-monnayeurs. Pour mon petit personnel je dois beaucoup à Barbusse, à Daudet du "Rêve éveillé". Vlaminck me semble parmi les peintres celui qui se rapproche le plus de mon idéal avec Gen Paul et Mahé... Il ne faut pas imaginer que tous ces gens-là sont des potes ou le furent... Ce serait une erreur fatale ! Peut-être sans doute qu’ils me détestent ou me détestaient de leur garce vivant. La plupart, je les ai jamais vus. Je tiens pas du tout à les voir, ni à leur plaire, au contraire, ce sont les coiffeurs de la vie, qui tiennent toujours beaucoup à plaire, les putains. Plus on est haï, je trouve, plus on est tranquille... Ça simplifie beaucoup les choses, c’est plus la peine d’être poli, je ne tiens pas du tout à être aimé... Je n’ai pas besoin de "tendresse"... C’est toujours les pires saloperies de l’existence que j’ai entendu soupirer après les "tendraîsses"... C’est ainsi qu’ils se rassurent. C’est comme l’honnêteté, la probité, la vertu... Quels sont les murs au monde qui entendent le plus parler de ces choses-là ?... Ce sont les murs d’un cabinet de Juge d’instruction... Quelles sont les arènes où l’on vocifère maximum au nom de toutes les  Libertés ? De la France aux Français ? De l’abolition des injustices et des privilèges ?... Dans les arènes du Communisme pleines à craquer de Juifs délirants de racisme et de voracité. C’est pesé ! Chers fauves, arrivez donc me déchirer tous ces veaux !...

Revenons à nos gais moutons... Je digresse comme une vieille chaisière. Question de "littérature" je ne me donne donc pas pour modèle, nenni ! On m’a énormément copié, certes, sans rien dire ! Rien divulguer, c’était fatal... Ici et là, un peu partout et dans bien d’autres pays... Ceux qui me copient m’abominent forcément, m’éreintent dès qu’ils peuvent, plus que tous les autres à la fois. Je suis le papa de bien des petits enfants, à maigres couillettes, qui font à mes frais les petits farauds, les petits inspirés, les petits fiévreux prophètes, d’une petite "sauterie" dans une autre à droite, au centre et surtout à gauche. Je ne veux pas les déranger, je suis discret par nature, les papas savent bien qu’il faut s’effacer, que c’est le plaisir des enfants de faire leurs petits crâneurs... Je veux pas les déranger, m’amener en trouble-fête... J’ai même pour eux, je l’avoue, une petite tendresse bien compréhensible... Je voudrais pouvoir leur passer un petit peu de glycéro-phosphate, qu’ils se renforcent un peu les os... une armature plus solide... En général, ils sont mous, ils puent le lycée, le babillage, la branlette, le cœur leur manque. Ils me font de là peine à regarder... Pour un peu je les renierais. C’est malheureux, en fait, en somme, qu’ils aient pas plutôt continué à écrire poli "goncourtien"... Ça vient tout seul chez les mufles, ce genre goncourtien. Tous les gens polis sont des mufles. Pas plus poli qu’un bourreau... Quand on a pris le temps d’étudier si bien l’adjectif convenable, au moment qu’il monte à la plume, c’est qu’on est sec comme un coup de trique. Croyez-moi j’ai fait souvent l’expérience. Notre belle littérature néo-classique, goncourtienne et proustophile n’est qu’un immense parterre de mufleries desséchées, une dune infinie d’osselets frétillants. Pour bien réussir dans le franc grossier, l’émotion directe, il ne suffit pas, ce serait trop facile, d’invoquer la merde chaque fois qu’on se trouve à court. Tels romantiques et classiques dès qu’ils se sentaient bafouilleux, fourvoyés un petit peu en traître terrain, prenaient à rescousse Dieu le père ! L’imposaient aussitôt. Ficelles ! Silence ! Et vénération ! Pour bien donner au "vulgaire" il est tout à fait impérieux que tout d’instinct vous en retienne, que tout vous éloigne... et c’est le paradoxe, des vautreries ordurières... des abandons lâches du commun... de la matière morte en  somme... de tout le rebut en un mot... Que tout vous rappelle au contraire despotiquement à la vie, au fluide, à la danse.

La grossièreté n’est supportable qu’en langage parlé, vivant, et rien n’est plus difficile que de diriger, dominer, transposer la langue parlée, le langage émotif, le seul sincère, le langage usuel, en langue écrite, de le fixer sans le tuer.. Essayez... Voici la terrible "technique" où la plupart des écrivains s’effondrent, mille fois plus ardue que l’écriture dite "artiste" ou "dépouillée", "standard" moulée, maniérée, que l’on apprend branleux en grammaire de l’école. Rictus, que l’on cite toujours, n’y réussissait pas toujours, loin de là ! Force lui était de recourir aux élisions, abréviations, apostrophes Tricheries ! Le maître du genre, c’est Villon, sans conteste. Montaigne, plein de prétentions à cet égard, écrit tout juste à l’opposé, en juif, semeur d’arabesques, presque du "France" avant la lettre, du Pré-Proust...

Dès qu’on se sent un peu "commun" dans la fibre et l’intimité, le mieux, de beaucoup, sans conteste, c’est de se vouer aux bonnes manières, de faire carrière en "dépouillerie " en élégante concision, sobriété délicate, finement tremblotante, colettisme. Tous les "parfaits styles" dès lors vous appartiennent avec plus ou moins de petit doigt, lon-laire.

Plus rien à craindre de vos élans !... Vous ne serez jamais découvert, le monde, si bourbeux, si porc, tellement irrémédiablement bas du cul, ses "chiots" toujours si près des talons, ne se torche que de papillottes, pasteurisées... Toute sa distinction !... La seule à vrai dire. Pour cette raison et nulle autre, vous observerez que les dames s’effarent et se déconcertent, interpellées en durs propos, tressaillent des moindres grossièretés. Elles toujours si près du balai, toujours si boniches par nature, dès qu’elles écrivent, c’est au plus précieux, au plus raffiné, aux orchidées qu’elles s’accordent... Elles n’empruntent qu’à Musset, Marivaux, Noailles, ou Racine leurs séductions, leurs travestis. Supposons qu’elles se laissent aller... Quel déballage ! Une minute ! Jugement de Dieu !... Ce serait alors vraiment la fin du monde ! Écrire pourtant de cul de bite, de merde, en soi n’est rien d’obscène, ni vulgaire. La vulgarité commence, Messieurs, Mesdames, au sentiment, toute la vulgarité, toute l’obscénité ! au sentiment ! Les écrivains, comme les écrivaines, pareillement enfiotés de nos jours, enjuivés domestiqués jusqu’aux ventricules depuis la Renaissance, n’ont de cesse, s’évertuent, frénétiques au "délicat", au "sensible", à "l’humain"... Comme ils disent... Dans ce but, rien ne leur paraît plus convaincant, plus décisif, que le récit des épreuves d’amour... De l’Amour... Pour l’Amour... Par l’Amour... Tout le "bidet lyrique" en somme... Ils en ont plein les babines ces croulants dégénérés maniéreux cochons de leur "Amour !»...

C’est en écrivant d’Amour à perte d’âme, en vocabulant sur mille tons d’Amour, qu’ils s’estiment sauvés... Mais voici précisément, canailles ! le mot d’infamie ! Le rance des étables, le vocable le plus lourd d’abjection qu’il soit !.. L’immondice maléfique ! Le mot le plus puant, obscène, glaireux, du dictionnaire ! Avec "cœur !". Je l’oubliais cet autre renvoi visqueux ! La marque d’une bassesse intime, d’une impudeur, d’une insensibilité de vache vautrée, irrévocable, pour litières artistico-merdeuses extraordinairement infamantes... Chaque lettre de chacun de ces mots suaves pèse sa bonne demi-tonne de chiasse exquise... Tous les jurys Feminas s’en dégustent, ne respirent que par ces étrons, à longueur de pâmoison, s’en ravissent intimement, festoyeusement "tout à la merde", s’en affriolent en sonnets, pellicules, conférences, mille tartines et téléphones et doux billets...


La 10eme partie de "BAGATELLES POUR UN MASSACRE"

de LOUIS-FERDINAND CELINE est ICI

et ICI les autres pamphlets.

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D
<br /> Ca ne vous dérange pas de publier des propos antisémites ? Et je ne vois pas ce que la bien-pensance vient faire là dedans...<br /> <br /> <br />
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L
je suis un peu décalé par rapport au commentaires précédents mais bon j’espère tout de même rencontrer une quelconque repartie... <br /> Excepté le commentaire de Yann ( qui, malgré la véracité de ses propos n'exprime cependant aucune opinion sur le texte) , les autres commentaires sont à mes yeux représentatifs de l'absence totale de réflexion propre à notre époque. Le fait de prendre &quot;la défense&quot; du peuple juif dans ces commentaires vient très mal à propos, l’objectif étant d’exprimer une réflexion sur le texte et non pas d'amplifier les perpétuelles jérémiades (le terme est ici bien choisi) qu'on tendance à débiter la plupart des gens dès qu'il est question du &quot;peuple élu&quot;. Je concède cependant que cet extrait est d'une virulence et d'un mépris assez extrême pour ce dernier. Mais ce verbiage l'est t il plus que certains textes juifs que l'on peut trouver dans la thora ou ailleurs. ( Lisez le herem prononcé à l'encontre de Spinoza.) Sans prendre la défense de ces élucubrations racistes de la part d'un auteur tel que Céline, il me faut pourtant admettre qu'on retrouve de tels propos dans la bouche de personnages tels que Thomas d'Aquin, Voltaire ou Cicéron... Tout discours extrême est souvent révélateur d'un fond de vérité ... La question est très délicate.
Y
Le commentaire précédent est tout simplement pathétique... aucune argumentation, juste du scatologique (ah, les dignes héritiers des Nuls et autre Bigard)... Céline est mort depuis 47 ans, et ne se sentira nullement agressé... par contre, je pense que les lecteurs de ce blog (qui sont - quelque éditeur de droite chrétienne mis à part - fermement opposés à l'antisémitisme) n'auront pas manqué de se sentir agressé par cette irruption de puissante bêtise... Ah, combien est délétère la pensée des bien-pensants...
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B
Interessant, en lisant cet article j'ai eu l'impression un moment de me retrouver dans les chiottes du festival des veilles charrues, pleines de merde puante et blindees de pisse fumante et odorante. C'est a peu pres l'effet que me procure cet article. Enfin bref, tout ca pour dire que ce n'est qu'un ramassis de vomissements verbaux regurgites par des tocards qui au lieu de se plaindre des juifs feraient mieux de les imiter un point c'est tout. C'est typiquement francais comme mentalite. Oh putain les riches tous des encules, ils sont trop riches etc etc... Le truc que apparemment les gens ont toujours pas percute, c'est que dans la vie y'a les baiseurs et les baises. Les baiseurs c'est ceux qui se sortent les doigts du cul et font quelque chose, les baises ce sont ceux qui n'osent rien, ne tentent rien et se prelassent dans leur mediocrite vegetative. Allez donc vous faire enculer, et ne venez pas faire chier en crachant sur l'esprit d'entreprendre. Sur ce je crois que je vais imprimer l'article comme ca je pourrais me torcher avec, et j'espere aussi pouvoir vomir dessus.
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